"Cette unité du plateau, dans la générosité comme dans la détermination, on la doit à la direction attentive et énergique de Paolo Arrivabeni. On doit savoir que l'Opéra de Liège dispose auourd'hui d'un des plus grands chefs verdiens de l'heure. Son Verdi frémit, tonne, s'amuse ou pleure : avec une variété d'accents et d'humeurs qui colore sans cesse le propos, le dynamise et donne à l'ensemble une fière allure qui dépasse de très loin le conformisme plan plan dont trop de chefs affligent ses oeuvres de jeunesse. C'est pourtant chez le compositeur des années de galère qu'un chef trouve les recettes de l'authentique continuité dramatique de celui qui se revendiquait volontiers comme dramaturge musical", click here
Serge Martin, lesoir.be
“Un géant ? Non, deux. Dès le prélude, Paolo Arrivabeni tend la toile sur laquelle, la soirée durant, il va poser par larges aplats ou, à l’inverse, à la pointe fine, les couleurs d’une partition riche d’effets orchestraux. Incisive, sa direction utilise évidemment les contrastes sans pour autant faire ronfler la machine ou abuser de pompe.”, click here
Christophe Rizoud, forumopera.com
“Formidable chef de fosse, embrassant ce répertoire avec toujours autant de passion, Paolo Arrivabeni dirige avec son élégance et sa flamme proverbiales un orchestre contrôlé et éloquent, même dans les détails.”, click here
Sébastien Foucart, concerto.net