Ana Maria Labin -
Soprano -
W
L’Olimpiade
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
27/06/2024
"Aminta, Licida’s tutor, was portrayed as a magician by Ana Maria Labin. Her soprano was silvery and exceptionally smooth on the high notes, with flawless coloratura. She indulged in peculiar vocalizations in “Il fidarsi della speme,” but her rendition of “Siam navi all’onde algenti,” which closes the first act, was nothing short of spectacular."
(Laura Servidei, Opera Wire)
La Resurrezione
Festival de Pâques, Aix-en-Provence
27/03/2024
"Ana Maria Labin en Madeleine confirme là son rang, exceptionnelle dans Handel comme chez Mozart. L’intelligence de la phrase, du verbe, est sans cesse en alerte au sein d’un chant admirablement plastique : figure à la fois inquiète et séduisante."
(Jean-Philippe Grosperrin, Diapason)
L'Olimpiade
Festival International d’Opéra Baroque, Beaune
23/07/2023
"Quoi qu’il en soit, c’est l’unique soprano de la soirée, Ana Maria Labin (dans le rôle d'Aminta), qui triomphe de cette olympique partition : dotée d’un timbre délicieusement sensuel, avec un léger sifflement qui accompagne son émission, la jeune chanteuse est capable du legato le plus crémeux mais également des intervalles les plus fous et des vocalises les plus hardies qui lui permettent, en fin de première partie, de remporter un triomphe avec sa restitution du redoutable « Siam navi all’onde algenti » déjà immortalisé par Cecilia Bartoli. "
(Par Pierre Degott, Olyrix)
Le Nozze di Figaro, Gärtnerplatztheater, Munich
29/06/2023
"Ana Maria Labin es prácticamente la única intérprete capaz de desplegar el melos belcantístico mozartiano en toda su amplitud y su lirismo, sirviéndose de una voz redonda, límpida y bien timbrada. Sin duda su interpretación es lo más placentero de toda la velada."
(J.G. Messerschmidt, Mundoclasico)
Orlando furioso, Théâtre des Champs-Elysées, Paris
27/05/2023
“Sa voix délicatement vibrante au timbre cristallin convient pour la jeune amoureuse, future épouse de Medoro. Visage souriant, elle affirme des aigus rayonnants, un phrasé enveloppant pour ses premières interventions. Elle anime le rôle avec une expressivité apportée par des couleurs vocales variées, des nuances diversifiées, un jeu scénique adapté lorsqu’elle exprime toute une palette de sentiments vis-à-vis d’Orlando : sarcasme, dédain (elle utilise alors de légers ports de voix), perfidie, remords (la voix s’assombrissant légèrement dans le medium). Sa voix gagne peu à peu en profondeur lorsqu’elle affirme son amour pour Medoro.”
(Véronique Boudier, Olyrix)
Haydn's The Seasons
Philharmonie, Paris
22/03/2023
“Ma la rivelazione (per noi) della serata è stata senza dubbio Ana Maria Labin, che ha cantato il ruolo di Hanne. ...il soprano svizzero di origine rumena è stata semplicemente ideale dall'inizio alla fine. ...è stata perfettamente in grado di incarnare questa giovane contadina piena di freschezza, un po' ingenua senza essere ingenua, sapendo simulare (la famosa aria "Ein Mädchen, das auf Ehre hielt" nell'Inverno) senza essere caricaturale: un'interpretazione superba!"
(Sébastien Gauthier, ConcertoNet)
“Ana Maria Labin retrouve une partie qu’elle connaît bien, et pour laquelle son soprano fruité, aux teintes claires, à la projection nette, semble avoir été créé, lui permettant d’oser des nuances subtiles et d’enclencher un dialogue mutin avec l’orchestre (« Welche Labung… »). ”
(Clément Taillia, Forum opera)
Handel's Solomon, Grand Manège de Namur
28/07/2022
“On mettra en toute première place une fascinante Ana Maria Labin : cette soprano roumaine, qui a grandi en Suisse, incarne aussi bien la théâtralité somptueuse de la Reine de Saba (Will the sun forget to streak) que le désespoir de la mère prête à se sacrifier (Can I see my infant gor’d). Cette double incarnation, aux antipodes l’une de l’autre, révèle tout le potentiel de la cantatrice.”
(Jean Lacroix, Crescendo Magazine)