Michele Spotti - Conductor - W
L’Equivoco stravagante
Rossini Opera Festival, Pesaro
17/08/2024

"En el foso la Filarmónica Gioacchino Rossini, dirigida por un jovencísimo Michele Spotti, que a sus 31 años nos regaló una dirección burbujeante, brillante y segura en entradas y concertación, con el clave del recitativo acompañado perfectamente imbricado con el resto de instrumentos y sobre todo un solícito acompañamiento a los cantantes, en especial a los dos buffos, con arias repletas de canto silábico, exigente donde los haya. ”

(Josep Subirá, Scherzo.es)


"Michele Spotti offre une interprétation parfaitement idiomatique, vive, légère et pétillante; il accompagne constamment les chanteurs du regard en récitant le livret.”

(Claudio Poloni, Concerto.net)


"Notable la dirección musical de Michele Spotti, de carrera siempre ascendente desde que le vi dirigir estupendamente en el Festival 2017 Il viaggio a Reims de los jóvenes. Spotti garantizó tanto claridad expositiva, elegancia, refinamiento tímbrico y buen acompañamiento al canto, como impulso rítmico y la efervescencia propia del Rossini buffo”

(Raúl Chamorro Mena, Codalario.com)


"Michele Spotti è un gentiluomo del podio. Preciso, elegante, sorridente, sa far cantare la Filarmonica Rossini ne L’Equivoco stravagante […] La musica è frizzante, spiritosa, melodica del fresco e divertito Rossini, l’orchestra si compiace di ritmi e colori vivaci insieme al buon cast […]”

(Mario Del Bello, Città Nuova)

Concert: Wagner, Mahler
Opéra, Marseille
21/06/2024

"La direction de Michele Spotti souligne la clarté formelle et sonore des successions et articulations des deux œuvres, sans trop en faire. Chaque idée musicale est finement accordée à un tempo qui lui est propre, comme si l’oreille ne pouvait traverser à la même allure les différents courants marins (Wagner) ou les étendues de territoire (Mahler). La gestuelle du chef est franche, minutieuse et ambidextre, ses rotations décidées, ses mouvements verticaux et latéraux virtuoses, tandis que se devinent ses mimiques qui ajoutent leur flux de sens en direction des instrumentistes. Il s’agit ici d’être vu de loin, de diriger pour l’horizon. Spotti manie le gouvernail d’une main de fer gantée de poésie, afin d’empêcher que les pupitres n’entrent en mutinerie les uns les autres, vents debout, en particulier les cuivres, de l’embouché du tuba au claironné de la trompette. Ainsi, dans cette quête de lumière, la direction est subtilement polarisée, continuellement soucieuse de maintenir le grand gong de l’orchestre dans les limites de l’assourdissant et du tonitruant. Ce terrible écueil est évité dans deux partitions qui profèrent des intervalles ascendants, des marches harmoniques conquérantes, et autres passages – rythmiques – cloutés. Côté orchestre, les cordes sont le socle, les cuivres, le couvercle, que viennent encore lester les percussions. Entre les deux, la petite harmonie constitue un liant discret, un ciment, précieux et indispensable, chargé d’arrondir les angles et de creuser des perspectives sonores inattendues. L’autre tendance propre à la direction de Michele Spotti est celle du chaos, bien sûr soigneusement organisé. Il s’agit de faire respirer l’orchestre, de le hisser sur le souffle du vaisseau (Wagner) ou du dragon (Mahler) et d’en accompagner le chant, le lyrisme. Le corps du chef semble ployer sous le désespoir, tandis qu’il retient la nuit de la marche funèbre (Mahler, premier mouvement), afin d’entendre toutes les dissonances – chercher de la résilience au cœur de la mort elle-même. Il entre en fugue, pas pour faire briller l’écriture, mais comme on entre en religion, seule réponse aux appels de détresse. Spotti restitue la poétique de l’insistance, de l’obsession qui git sous l’inspiration des deux compositeurs : leur matière-musique qu’il lance, étire, enlise, parvient enfin à extraire, avec un sens aigu de la conduite des phrases : ce « repartir de loin » qui permet à la musique d’avancer. L’adagietto de Mahler s’entend alors comme musique de Désir, accord de Tristan et Iseult indéfiniment prolongé. La petite harmonie, au rôle central et discret, parvient à se faufiler en courts soli de clarinette, flute et hautbois, avant d’être absorbée par les abysses et abîmes de la grande fugue (Mahler, troisième mouvement, cinquième mouvement). "

(Florence Lethurgez, Classykéo)

Turandot
Arena di Verona
15/06/2024

"Quella stessa preziosità cromatica che riluceva in scena l’abbiamo ritrovata nella lettura direttoriale di Michele Spotti. Una Turandot, la sua, per certi versi inedita in un contesto come quello veronese, dove la vastità dello spazio sovente sacrifica i particolari. Il giovane direttore punta così su una tavolozza di colori ampia, con belle sfumature e un senso drammatico ovunque incisivo, teso tra il languore di certe pagine (si veda l’invocazione alla luna del primo atto) e la spigolosa scrittura di altre, pienamente novecentesca e a tratti espressionista. Ne emerge così vivida la modernità della scrittura pucciniana, il suo potere evocativo, l’estenuata dolcezza delle melodie, l’emozione del respiro corale. Sempre nitida la definizione ritmica, come l’accompagnamento al canto, per un cast di ottimo livello."

(Fabio Larovere, Connessi all'Opera)

Le Nozze di Figaro
Opéra, Marseille
30/04/2024

"Une rock star, Spotti ? Presque, mais surtout un excellent maestro qui, par sa lecture des plus intelligentes, permet aux instrumentistes d’offrir une interprétation élégante, colorée, vivante et précise de la partition de Mozart. Et au bout du compte une salle conquise qui réserve sans retenue un triomphe au jeune chef italien à l’issue de la quatrième représentation à laquelle nous assistions..."

(Michel Egéa, Concert Classic)

La Cenerentola
Theatre du Capitole, Toulouse
30/03/2024

"Décoiffante, avec tout ce que cela implique de fougue et de folie, que ce soit dans la fosse ou sur scène. Michele Spotti fait coup double en reprenant pour cette série de représentations la tête de l’ONCT, quelques semaines après avoir ici même dirigé un Idomeno d’excellente facture. Il donne le ton dès l’ouverture en imposant des rythmes très marqués ; on peut dire qu’il ne fait pas dans la dentelle et que les sauts dynamiques font d’évidence, on frise parfois le caricatural. Il s’approprie le crescendo rossinien avec vista, crescendo qu’il double presque systématiquement d’un accelerando à donner le vertige. Vite, vite, plus vite, plus vite encore, l’ouverture est troussée à un rythme vertigineux qui donnerait le tournis à tout musicien qui ne serait pas au fait de son art. Mais c’est sans compter avec ces musiciens-ci qui certes suent à grosses gouttes aux battues frénétiques du chef, mais ne perdent nullement le fil du discours. Ce qui vaut ici pour l’ouverture vaudra pour bon nombre d’occurrences, les ensembles souvent, sans que jamais l’orchestre soit poussé à la faute. En revanche, le rythme imposé aux chanteurs met ceux-ci davantage en péril et quelques décalages sont immanquablement survenus. Pour autant, nous ne parlerons pas d’erreur de tempo. Les accélérations sont foudroyantes, mais elles sont d’autant plus remarquables et donc efficaces (et toujours à propos) qu’elles contrastent avec un rythme d’ensemble certes soutenu, mais jamais rapide à l’excès.."

(Thierry Verger, ForumOpera)

Idomeneo
Théâtre du Capitole, Toulouse
04/03/2024

"Por último, el joven director de orquesta italiano Michele Spotti, director musical de la Ópera de Marsella, ofreció una lectura viva y despierta de la partitura del joven Mozart, pero que se humanizó a medida que avanzaba la velada, encontrando color, redondez y una verdadera expresión de los sentimientos en juego: fue él quien compensó la rigidez teatral de esta representación… ¡y le dio una emoción tan consoladora como bienvenida!"

(Emmanuel Andrieu, Scherzo.es)

Die Zauberflöte
Teatro dell’Opera, Roma
17/01/2024

"In questa fase della sua esistenza, sembra proprio che il Costanzi abbia un notevole fiuto per i direttori: la scelta di affidare la partitura mozartiana a Michele Spotti, poco più che trentenne ma già direttore principale in un teatro di prestigio come l’Opera di Marsiglia, si è rivelata decisamente uno dei punti di forza di questa produzione. In un titolo così ricco di possibilità e così sfuggente, Spotti riesce infatti a trovare il corretto equilibrio, rifuggendo dal turgore romantico d’altri tempi e dalle secchezze filologiche, e imprimendo un adeguato ritmo teatrale alla narrazione. I tempi sono tendenzialmente serrati ma evitano l’impressione della corsa a perdifiato, e viene conferita una grande attenzione alle dinamiche nonché la massima attenzione alla ricerca di un giusto equilibrio tra orchestra e voci. In definitiva, il giovane ed entusiasta direttore riesce a lasciare la voglia di risentirlo, e di augurargli un rientro in Italia."

(Daniele Galleni, Operaclick)


"Buona quota della tenuta e del merito va in ogni caso riconosciuta alla per nulla scontata restituzione dell’esatta timbrica unita all’arguta dialettica stilistica e idiomatica contenuta nell’ultima (quanto a rappresentazione, ma penultima per composizione) partitura teatrale mozartiana. Tolta l’iniziale impressione dell’esigenza di una maggiore tensione dinamica, l’Orchestra della Fondazione lirica romana ha presto preso ottima quota sotto la direzione del trentunenne Michele Spotti, giovanissimo talento del podio recentemente nominato direttore musicale dell’Opera e dell’Orchestra Filarmonica di Marsiglia. Già dall’Ouverture bipartita alla francese, superate le poche battute dell’Adagio introduttivo e segnato lo sprint in apertura d’Allegro, se ne coglie ampiamente l’impegno mirato a garantire un serrato ordito fatto al contempo di leggerezza metrico-ritmica aerea staccata velocemente sugli archi, di polpa sontuosa spingendo timpani e fiati, di condotte fugate e concertanti di lì a seguire cavalcate a doppio regime fra connotazione cinetica o comunque incisiva sia nello scontorno del comico che del drammatico. Il tutto in pari al peso dato ai rilievi timbrici o agli affondi espressivi in chiaro aggancio con i tanti luoghi della produzione mozartiana, in special modo strumentale"

(Paola De Simone, Connessi all'Opera)

Il Turco in Italia
Opéra de Lausanne
11/10/2023
"Car le jeune chef milanais Michele Spotti, nouveau directeur musical de l’Opéra de Marseille, insuffle une vitalité débordante à un Orchestre de Chambre de Lausanne miroitant de mille feux et à un Chœur de l’Opéra de Lausanne (préparé par Antonio Greco) s’adaptant parfaitement à sa dynamique endiablée."

(Paul-André Demierre, Crescendo Magazine)


Il turco in Italia
Festival della valle d'Itria, Martina Franca
18/07/2023

"Sul podio dell’Orchestra del Teatro Petruzzelli di Bari, in grande spolvero, Michele Spotti ha messo in risalto tutte queste caratteristiche confermandosi una delle bacchette di maggiore classe fra quelle della nuova generazione. Intanto per il gesto chiaro, elegante e incisivo, a cui si è accompagnata una concertazione particolarmente accurata per vivacità e leggerezza sempre in perfetto equilibrio con il palcoscenico."

(Eraldo Martucci, OperaClick)


"Mentre una meraviglia, con l’orchestra barese, è la concertazione di Michele Spotti, vanitosa e rivelatoria nella continua, imprevedibile, teatrale mobilità di tempi staccati e colori trovati: se in una lettura musicale sono state date spalle forti a ogni aspetto, rasentare il fine a sé stesso diviene l’ultima rifinitura e un atto d’amore. "

(Francesco Lora, Ape Musicale)

Ernani,
Palau de Les Arts, Valencia
07/06/2023

... su dirección musical de este Ernani valenciano ha sido sobresaliente y ha confirmado su gran talento. Ya desde la obertura, como es innegociable en Verdi, la orquesta, vibrante y enérgica, nos situó en atmósfera teatral. Spotti, por supuesto, obtuvo un espléndido sonido de la estupenda orquesta, pero eso no es suficiente en este Verdi temprano, aún un tanto agreste como orquestador. Además de lo expresado, la joven batuta supo diferenciar planos orquestales y exhibir articulación genuina y claridad expositiva. Con gesto tan claro como preciso, Spotti acompañó magníficamente a los cantantes, apuntaló la tensión y progresión teatrales con una labor incandescente, de la que fueron buenos ejemplos el concertante final del acto primero, impecablemente construido con la adecuada progresión y un flamígero impulso rítmico, así como el gran coro del tercer acto «Si ridesti il Leon di Castiglia» paradigma del ardiente Verdi risorgimentale y en el que el coro de la casa puso guinda a su notable labor de toda la noche. En opinión del que firma, Michele Spotti es el director italiano joven de mayor talento de los que he visto en directo. Se interpretó la obra completa, con todas las repeticiones y da capo. Spotti dejo fuera, al igual que hacía Muti, la cabaletta del bajo “Infin che un brando vindice”, ya que la autoría verdiana de esta página está puesta en duda."

(Raúl Chamorro Mena, Codalario)


“Al frente de la Orquesta de la Comunidad Valenciana ha debutado el joven maestro milanés Michele Spotti, con una dirección de gran sensibilidad y dinamismo, mimando todos los detalles, arropando a los protagonistas, siempre pendiente de las entradas, y resaltando los valores dramáticos de una partitura de un joven Verdi pero en la que ya dejó patente su maestría. Spotti, de 29 años, se llevó una cerrada ovación del público, que premió la entrega del director y la gran actuación tanto de la orquesta como del Coro de la Generalitat, en una nueva exhibición de excelencia que hizo las delicias de los espectadores, que llenaron la sala principal de Les Arts en la despedida de la temporada.”

(Joan Castelló, La Vanguardia)


“Redonda sin tachas fue la dirección musical del joven maestro italiano Michele Spotti, quien a sus treinta años (uno menos de los que tenía Verdi cuando compuso Ernani), se ha revelado como maestro fuera de serie. Un primera clase de la dirección de orquesta, actual director musical de la Ópera de Marsella, y llamado, sin duda, a ser reconocido como uno de los grandes. Lo ha sido con este Ernani pleno de impulso y pulso verdianos, de fantasía, de atención al detalle y de esa inspiración, aún tan belcantista que distingue a este Verdi primerizo pero ya perfectamente definido en estilo y forma. Concertó foso y escena, ya desde el prometedor preludio, con la enunciación del tema del terrible pacto entre Ernani (Don Juan de Aragón) y Don Ruy Gómez de Silva, con naturalidad, equilibrio y alto dominio. Con intenso sentido teatral, Spotti cantó con los cantantes he hizo cantar a la una vez más excepcional Orquestra de la Comunitat Valenciana y al Cor de la Generalitat en día de gloria con riqueza de colores, registros y matizado criterio. Dirección efectiva, natural e inspirada, en cuyas formas, maneras y actitud late el magisterio de Gelmetti, Noseda y Gatti. Su retorno es imprescindible.”

(Justo Romero, Levante)


"La Orquestra de la Comunitat Valenciana y el Coro de la Generalitat Valenciana rayaron a gran altura. La batuta milanesa de Michele Spotti tiene una musicalidad envidiable, dirigiendo a los músicos del foso y a los cantantes en escena, y bailando algunas cabalettas. Si se nos permite el juego de palabras, su apellido debería ser, más bien, 'Spottifino'."

(Francisco Bueno Camejo, Valencia News)


"La gran sorpresa de estas representaciones es sin duda la del director de apenas 30 años, Michele Spotti; todo un acierto que hay que apuntar a Jesús Iglesias por haberlo traído para estas representaciones verdianas. Muy aplaudido y braveado en el turno de saludos, llevó a cabo una magnífica dirección musical plagada de matices, sentido dramático, rebosante de variedad dinámica y rítmica, con ese sutil arte del rubato tan de los maestros italianos. En definitiva, una dirección verdiana por los cuatro costados y con una gestualidad heredera de los grandes maestros en este repertorio. Todavía muy joven, mostró ya un dominio de todos los frentes- coro, orquesta, solistas- y una madurez verdaderamente sorprendente para lograr una lectura modélica y a la vez disfrutar, como le vimos, de ello. Cierto es que tener en el foso una orquesta tan dúctil como la titular del teatro, ayuda. Sin miedo a equivocarme tenemos gran director para las próximas décadas. Quiero pensar en que la dirección artística del teatro ha tomado buena nota y retornará más pronto que tarde."

(Joaquìn Guzmàn, ABC Valenciana)

Don Pasquale, Teatro Massimo, Palermo
17/02/2023

“Il successo della serata è dovuto alla scrittura scenica sfavillante, tanto quanto alla direzione dell’orchestra di Michele Spotti che fin dalla sinfonia dimostra le sue belle doti di concertazione, il perfetto controllo di orchestra e voci, restituendo un suono smagliante, del tutto amabile."

(Francesca Taormina, la Repubblica)

Rigoletto
Theater Basel
12/02/2023

“L’oreille est attirée vers la fosse à plus d’une reprise et se réjouit des idées très personnelles que Michele Spotti imprime à cette œuvre rebattue et actuellement sur-programmée : Cortigiani, vil razza dannata surfe sur une houle des cordes que l’on aura rarement perçue aussi grondante ; La Donna è mobile se voit accentué d’un inhabituel tranchant sur son premier temps. Une lecture orchestrale de Rigoletto qui n’est certainement pas, elle non plus, pour rien dans l’enthousiasme debout d’une salle comble..."

(Jean-Luc Clairet, ResMusica)

La Fille du régiment
Vienna, Wiener Staatsoper
28/12/2022

“Michele Spotti proved to be an excellent choice to conduct this famous piece, since it is not the easiest of tasks and the tireless concentration of the young is preferable to many an established conductor. Donizetti and Rossini are not necessarily the strengths of this, unduobtedly, first-class orchestra, but on this evening it often sounded lighter than usual. ”.

(snapdragon, bachtrack.com)

Don Carlos
Theater Basel
17/02/2022

Michele Spotti gelingt am Pult mit dem Sinfonieorchester Theater Basel ein auffallend leichtfüssiges Dirigat, das die Finessen dieser französischen Fassung zur Blüte bringt. Spotti ist die Liebe zum Detail weit wichtiger als effektvoller Krawall, das hindert ihn aber nicht, in den richtigen Momenten für gesteigerte Hochspannung zu sorgen. Punktgenau und prächtig strahlend sind auch die Auftritte vom Chor und Extrachor des Theater Basel unter Michael Clark

(Peter Wäch, JUNGFRAU ZETUNG)

Don Pasquale
Opéra de Montpellier
February 2019
25/02/2019

“Dans la fosse, le jeune chef italien (25 ans) Michele Spotti dirige avec verve et précision l’Orchestre de Saint-Etienne-Pays de Loire, qualités que l’on retrouve dans le Chœur Maison. Au final, une réussite mémorable."

(Sabino Pena Arcia, classiquenews.com)

“Il faut aussi saluer la présence du jeune et brillant chef Michele Spotti. Il est absolument partout et permet à l’orchestre et au chœur, très bien préparés, de rendre à la partition tout son éclatant foisonnement."

(Christian Dalzon, ConcertoNet.com)

“Enfin, Michele Spotti dirige avec brio l’Orchestre national Montpellier Occitanie duquel il tire le meilleur, osant de formidables contrastes et des tempi vifs autant que d’autres, suspendus..."

(Elodie Martinez, opera-online.com)

Il Barbiere di Siviglia
Opera-Theatre de Saint-Etienne
January 2019
25/02/2019

“À 25 ans, le jeune chef italien Michele Spotti dirige avec dynamisme l’Orchestre Symphonique Saint-Étienne Loire. Dès l’ouverture de l’opéra, les musiciens offrent un son homogène, dont ils savent varier l’intensité pour gagner en contraste sonore."

(Élodie Oriol, olyrix.com)

Il viaggio a Reims
Rossini Opera Festival
August 2017
17/04/2018

“Sul podio della Filarmonica Gioachino Rossini, il ventiquattrenne Michele Spotti dimostra gesto chiaro e autorevole, fluidità di tempi e dinamiche, bel piglio e buon rapporto con il palcoscenico"

(Roberta Pedrotti, L'Ape musicale)

“...Nel complesso, le cose funzionano anche sotto il profilo musicale. Merito anzitutto del direttore Michele Spotti, classe 1993, che ha saputo trarre il meglio dalla Filarmonica Rossini in termini di precisione, pulizia e bellezza del suono, riuscendo sempre a coniugare il sostegno al canto con la valorizzazione dello strumentale, in particolare nelle sezioni di ottoni e fiati (penso ad esempio alla lunga introduzione dell’aria di Lord Sidney, affidata a un ottimo flauto solista). Spotti ha altresì curato con perizia il fraseggio e accentuato i contrasti dinamici, conferendo ritmo alla narrazione...”

(Fabio Lavarone, Connessi all'Opera)

“La vera sorpresa però l’abbiamo avuta nella direzione del ventiquattrenne Michele Spotti, alla guida della Filarmonica Gioachino Rossini. Spotti riesce a tenere l’equilibrio tra buca e palcoscenico con piglio da direttore esperto, canta con gli interpreti e li sostiene. La sonorità dell’orchestra non è mai invadente e non scevra di preziose dinamiche, mentre il ritmo è sostenuto quanto basta per sottolineare le singole scene. Ne sentiremo certamente parlare."

(Roberta Pacifico, Operaclick)

Il Barbiere di Siviglia
Opera Domani
February 2017
17/04/2018

“Il celebre titolo di Rossini rimpicciolito nell'orchestra ben diretta da Michele Spotti, e con la trama ridotta all'osso, rifulge nel vivace spettacolo di Danilo Rubeca, Emanuele Sinisi e Anna Cavaliere."

(Angelo Foletto, La Repubblica)

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